comme quoi
même sur un petit bateau de travail
il y a beaucoup à apprendre
Marco
crabe a écrit:
C'était des madriers de sapin du nord qu'ils refendaient en largeur constante, et qu'ils posaient à suivre.
a écrit:Je pense que la regle pour nous, il ne faut pas que ça titille l'oeil
xavero63 a écrit:
Sinon, pour le lattage du pont, les virures de pont étaient rectilignes, parallèles à l'axe médian, et abutant en sifflet sur le contour du plat bord; le pontage est fixé par deux clous sur chaque barrot et les écarts sont à trois virures passantes ou à deux virures passantes et un barrot.
Xavier
professorus a écrit:xavero63 a écrit:
Sinon, pour le lattage du pont, les virures de pont étaient rectilignes, parallèles à l'axe médian, et abutant en sifflet sur le contour du plat bord; le pontage est fixé par deux clous sur chaque barrot et les écarts sont à trois virures passantes ou à deux virures passantes et un barrot.
Xavier
ça viendrait contredire les propos de Crabe? moi je pensais comme Crabe qu'on limitait les coupes donc des écarts à suivres
xavero63 a écrit:
Tout à fait d'accord avec toi, Jean-Claude.
Il y avait certainement DES savoir-faire, susceptibles d'évoluer selon "l'opérateur" et aussi la demande locale. Ce n'était pas "rigide", gravé dans le marbre. Enfin, c'est ce que je pense. Et donc, il n'y a pas de "contradiction", simplement des variantes.
La manière que je décris est celle donnée par Jean LE BOT dans son livre.
Au fait, J-J, merci pour l'image... et qu'est-ce que j'aurai si j'arrive à avoir 5 images ??
Amitiés
Xavier