je vous propose ma méthode pour la réalisation du deuxième bordé du San Juan,
galion espagnol de la fin du XVI° siècle!
D'abord coller la quille assemblée avec des traits de Jupiter et dans laquelle a été pratiquée la râblure afin d'insérer les virures
(contrairement aux instructions d'AL qui préconisent de la mettre en place une fois le 2°bordé fini et sans râblure)
vue avec le galbord bien inséré dans la râblure!
La difficulté réside dans le brochetage qui, pour une coque de ce type, est particulièrement ardu
Les râblures ont présenté une difficulté de réalisation mais, finalement, aident bien à la mise en place de ce 2° bordé
pour le brochetage j'ai procédé par la mesure des couples et de l'arrondi de l'étrave et divisé par le nombre de virures pour en obtenir la largeur sur chaque couple.
En effet les formes de la carène d'un galion ne sont pas "académiques" et l'on ne peut donc se contenter de mesurer le MC, l'étrave et la poupe!! en bref, ce n'est pas de la tarte!
Comme je procède à main-levée, j'ai forcément des différences qui se font jour!
D'aucuns me diront que ce n'est pas une manière de travailler, mais cela m'a permis d'aller au bout.
Ceci m'a donc conduit à utiliser un tableau que je réactualise en fonction de mes avancées :
C'est fastidieux mais pratique!
Maintenant que le bas est habillé, il est temps de mettre le haut!
1° bordé dans sa râblure d'étrave et courant le long de la carène.
et le long de la ligne de sabords.
Ces virures ne sont pas brochetées en vue de s'accorder avec la pose des préceintes.
Il faut maintenant recommencer à brocheter pour finir :
c'est fini!
la proue :
vue de profil :
vue de dessous
galion espagnol de la fin du XVI° siècle!
D'abord coller la quille assemblée avec des traits de Jupiter et dans laquelle a été pratiquée la râblure afin d'insérer les virures
(contrairement aux instructions d'AL qui préconisent de la mettre en place une fois le 2°bordé fini et sans râblure)
vue avec le galbord bien inséré dans la râblure!
La difficulté réside dans le brochetage qui, pour une coque de ce type, est particulièrement ardu
Les râblures ont présenté une difficulté de réalisation mais, finalement, aident bien à la mise en place de ce 2° bordé
pour le brochetage j'ai procédé par la mesure des couples et de l'arrondi de l'étrave et divisé par le nombre de virures pour en obtenir la largeur sur chaque couple.
En effet les formes de la carène d'un galion ne sont pas "académiques" et l'on ne peut donc se contenter de mesurer le MC, l'étrave et la poupe!! en bref, ce n'est pas de la tarte!
Comme je procède à main-levée, j'ai forcément des différences qui se font jour!
D'aucuns me diront que ce n'est pas une manière de travailler, mais cela m'a permis d'aller au bout.
Ceci m'a donc conduit à utiliser un tableau que je réactualise en fonction de mes avancées :
en 10° de mm | bâbord | tribord |
Etrave | 37 | 36 |
Intermédiaire | 39 | 39 |
Sabord 1 | 43 | 43 |
Sabord 2 | 47 | 48 |
Sabord 3 | 49 | 48 |
Sabord 4 | 51 | 51 |
Sabord 5 | 49 | 50 |
Sabord 6 | 50 | 50 |
Sabord 7 | 48 | 48 |
Sabord 8 | 45 | 45 |
Poupe | 45 | 45 |
C'est fastidieux mais pratique!
Maintenant que le bas est habillé, il est temps de mettre le haut!
1° bordé dans sa râblure d'étrave et courant le long de la carène.
et le long de la ligne de sabords.
Ces virures ne sont pas brochetées en vue de s'accorder avec la pose des préceintes.
Il faut maintenant recommencer à brocheter pour finir :
c'est fini!
la proue :
vue de profil :
vue de dessous